« L’Enfer des codes » est un best-seller chinois qui parait en traduction française, écrit par Mai Jia, un ancien espion devenu écrivain, comme en son temps John Le Carré. Une plongée dans l’univers de la cryptographie, et donc pas loin de la folie. La promotion médiatique internationale du roman chinois « L’Enfer des codes », qui parait en traduction française, peut surprendre. Mais un auteur de romans d’espionnage qui obtient le prix Mao Dun, le « Goncourt chinois », ce n’est pas courant… Ce livre, que l’on présente comme un roman d’espionnage, est en fait non pas un « thriller », mais une biographie d’un génie de la cryptographie, et une analyse passionnante de la frontière fragile entre le génie et la folie. A replacer dans le cadre des récents débats en France et dans le monde sur la sécurité, la surveillance. Lire la suite sur Rue89