Hwang Chun-ming est l’un des écrivains taïwanais les plus connus. Né à Taïwan, attaché à l’île, à son petit peuple, à sa langue et à sa culture, il est l’un de ceux qui ont poussé à la recherche des racines.
Le recueil de nouvelles « J’aime Mary », qui vient d’être publié en traduction française, est un témoignage de son talent. Il est rare qu’après quelques mois, on se souvienne de l’ensemble des nouvelles d’un recueil ; pour ce livre, ce sera le cas.Lire la suite sur Rue89.
Très intéressant.
On aurait pu dire : en littérature non plus, Taiwan n’est pas la Chine… Ou même : en littérature surtout, etc….