Quand on parle de Mo Yan, le prix Nobel de littérature 2012, c’est surtout de ses romans, de ses « longs » romans qui, parfois et à tort, font fuir certains lecteurs. Mais il a écrit plus de cent nouvelles et de nombreux « courts » romans.
Comme il le dit dans sa préface à « Shifu… », un recueil de nouvelles publié aux Etats Unis :
« la stature d’un écrivain n’est déterminée que par les pensées et les réflexions que révèle son œuvre et non par sa longueur. La place d’un écrivain dans l’histoire littéraire d’une nation ne peut être évaluée par le fait qu’il soit ou non capable d’écrire un livre aussi lourd qu’un pavé ». Lire la suite